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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 10:32

ATTENTION ! CET ARTICLE DU SITE  24HEURESACTU.COM  DEMENAGE !!!

LES PHOTOS ET VIDEOS SONT TRES DURES ET PORNOGRAPHIQUES (surtout en lien) !

A LIRE UNIQUEMENT SI VOUS AVEZ PLUS DE 18 ANS !!!

 

 

Pussy Riot : poulet dans le vagin et partouze enceinte (vidéo)

 

cecile-duflot-soutient-les-pussy-riot

Après les Femen, c’est au tour des féministes de Pussy Riot d’être démasquées et de montrer leur vrai visage : celui de fanatiques hystériques qui s’enfilent un poulet dans le vagin en présence d’un enfant et se font filmer pendant des orgies sexuelles. En voyant ces images, comment ne pas penser aux nombreuses personnalités françaises qui ont soutenu officiellement les Pussy Riots, sans même se renseigner sur ce drôle de groupuscule.

C’était l’affaire de la rentrée : de pauvres activistes féministes s’étaient fait emprisonner par le régime russe pour de simples prières punks, qu’elles étaient allées chanter en pleine célébration religieuse, dans une église. L’ensemble de la communauté internationale avait aussitôt pris parti pour ces femmes. On ne va pas s’attarder sur Cécile Duflot et Audrey Pulvar, dont la bêtise militante n’est plus à prouver. En revanche il est étonnant que tant de célébrités (Bernard-Henri Lévy, John Malkovich, Antoine de Caunes, Philippe Starck, Frédéric Beigbeder, Yann Moix, Serj Tankian, Kate Nash, Red Hot Chili Peppers, Sting, Peter Gabriel, Cornershop, Faith No More, Alex Kapranos du groupe Franz Ferdinand, Neil Tennant du groupe Pet Shop Boys, Patti Smith, The Beastie Boys, Refused, Zola Jesus, Die Antwoord, Jarvis Cocker, Pete Townshend, The Joy Formidable, Peaches, Madonna, Genesis, Tegan and Sara, Johnny Marr, Courtney Love, Iiro Rantala, Propagandhi, Anti-Flag, Rise Against, Corinne Bailey Rae, Peter Hammill, Kathleen Hanna, Björk, Paul McCartney, Yoko Ono, Warren Kinsella, Kiss, Stephen Frey…) aient pris la défense de ces hystériques décadentes.

On se souvient également des leçons de morale, sous couvert d’humour, de Yann Barthès envers Mireille Mathieu, qui avait osé émettre quelques doutes sur le soutien sans faille aux Pussy Riot.

Nadejda Tolokonnikova

Comme quoi, parfois, il suffit de s’attaquer à l’église pour avoir tous les bien-pensants de son côté, à l’image des tristes journaux français dont Le Monde, qui publiait un plaidoyer en faveur des Pussy Riot, le 18 aout 2012, intitulé sobrement « Au XXIe siècle, la Russie de Poutine renoue avec l’Inquisition », ou le journal de propagande du PS, Libération, qui titrait la veille « Les artistes français aphones », pour dénoncer le manque de soutien pour ces femmes si particulières, dans une période où tout est si beau qu’il n’y a pas de cause plus noble à défendre (encore une fois, on attend l’Édito de Libé quand des femmes seront entrées dans une Mosquée en pleine cérémonie religieuse, en hurlant des propos blasphématoires contre l’Islam)…

Désormais, plusieurs journalistes remettent légitimement en question les Pussy Riot, comme auraient du le faire les belles plumes de Libé et du Monde avant de nous vendre leur indignation mièvre. On n’a plus besoin depuis longtemps de preuve de incompétence de la caste journalistique française, pourtant bien lotie en privilèges variés…

Ainsi, l’économiste et journaliste Paul Craig Roberts considère que le Pussy Riot sont payées par diverses ONG américaines pour déstabiliser la Russie. De la même manière, le journaliste Alexandre Latsa estime qu’elles ont été payées par un oligarque russe pour attaquer le Kremlin.

 

Quoi qu’il en soit, il semblerait bien que les Pussy Riot ne sont pas les rebelles vendus par les salles de rédaction, mais plutôt un groupuscule de folles aux comportements sexuels répugnants.

Plusieurs vidéos et photos des Pussy Riot les montrent ainsi dans des lieux publics, en train de faire des orgies sexuelles. L’une d’elle entre même dans un supermarché avec un enfant avant de prendre un poulet et de se l’enfoncer dans le vagin devant la caméra. Sur d’autres images, on retrouve Nadejda Tolokonnikova, dont les photos en prison ont fait le tour du monde, enceinte jusqu’au coup, en train d’avoir des rapports sexuels publics. Des images répugnantes qui confirment l’impression que la décadence, la dégénérescence et l’absence de limites sexuelles sont désormais les valeurs défendues par nos bonnes élites de gôche ! Le cul, le cul, le cul!!! Jouir, jouir, jouir !!! Tels sont les nouveaux leitmotive de la classe dirigeante.

Voir ici la vidéo des femmes soutenues par notre ministre du logement. Si on laisse de coté la paranoïa antisémite antisioniste de Soral, les images à peine soutenables offrent un réel éclairage sur les Pussy Riot.

Plusieurs clichés supplémentaires sont accessibles ici.

Un ministre de la république qui soutient publiquement une femme qui s’enfonce un cadavre de poulet dans le vagin, c’est maintenant !

 

source : 24heuresactu.com

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la Jeanne 2013

 

Les Royalistes dans la Résistance

Conférence de Marc Savina (vidéos)

Les vendredis soirs, à l’exception des périodes de vacances, le Centre Royaliste d’Action Française (10, rue Croix-des-petits-champs) ouvre ses portes à tous pour des conférences gratuites sur des sujets historiques ou d’actualité. Pour vous tenir informé des conférences à venir, reportez vous à la partie agenda du site, et pour savoir à quoi ressemblent ces conférences, jetez donc un œil à celle-ci qui traite brillamment de ce sujet méconnu : les royalistes dans la résistance !

 

 

Jean-Baptiste Biaggi, résistant et membre de l’Action française

membre de l’Action française

Jean-Baptiste Biaggi, résistant et membre de l’Action française

A l’image des jeunes lycéens qui manifestèrent le 11 novembre 1940, c’est de l’Action française que vinrent les premiers résistants. Des noms comme ceux d’Estiennes d’Orves ou du maréchal Leclerc sont dans toutes les mémoires. D’autres, moins connus et innombrables, prouvent qu’il était possible, si ce n’est logique, d’être résistant quand on était royaliste.

 

Comment avez-vous connu l’Action française ?

Jean-Baptiste Biaggi : dans mon petit village de Cagnano, en Corse, il y avait un curé, Ange Giudicelli, qui était maurrassien. Il y avait aussi un marin retraité abonné à l’Action Française. Je lisais donc l’Action Française, malgré l’interdiction du vatican. Ensuite j’ai été étudiant d’Action française et délégué de l’Action française à la faculté de droit. et c’est moi qui à ce titre, faisais le discours de bienvenue de Charles Maurras qui tous les ans, venait présider le banquet des étudiants d’Action française. J’assistais régulièrement à ses conférences.

Quel fut votre parcours dans la Résistance ?

 Jean-Baptiste Biaggi : Durant la guerre, j’ai combattu, j’ai été blessé. Déclaré inapte à tout service, j’ai passé ma convalescence à Marseille, où je marchais avec deux cannes. C’est là que, par hasard, je rencontre Alain Griotteray. Nous sympathisons et il me demande d’organiser des passages de courriers, de renseignements vers l’Afrique du Nord. A partir de 1942, j’ai organisé le passage par l’Espagne de volontaires. Je continuais aussi à fournir du renseignement. Vous savez, le renseignement, c’est beaucoup plus utile qu’un petit meurtre à la sortie d’un métro parisien. Et puis ça ne provoque pas de représailles sur la population. On se fait prendre, on est fusillé, tout au plus avec ses complices. Mais le charcutier du coin et l’institutrice du village voisin, ils n’ont rien.Je suis allé quelques fois à Vichy, pour faire du renseignement. J’y ai rencontré un ancien camarade de Droit, Joseph Barthélémy, devenu ministre de la Justice de Vichy. Il m’a dit : "A Vichy, il y a plus de résistants que partout ailleurs !"

Ensuite, j’ai été arrêté et mis dans un train de déportation vers Bergen-Belsen. De ce train, je me suis évadé, grâce au corset médical qui me maintenait depuis mes blessures au ventre et au dos. Grâce à l’abbé Le Meur, et à la complicité d’un gardien du camp qui voulait déserter, j’ai remplacé les baleines du corset par des scies à métaux et un tournevis.J’ai ensuite organisé une évasion massive du convoi. Durant le transport, nous sommes quarante-cinq à avoir tenté et réussi l’évasion ! Pour cela, nous avons dû maîtriser les autres prisonniers qui menaçaient de nous dénoncer aux SS ! J’ai repéré le meneur, j’ai saisi mon tournevis, le lui ai mis sur le ventre et je lui ai dit : "Maintenant tu fermes ta gueule ou je te crève !" Il a compris. A cinq, nous avons gagné un petit village, où nous avons été hébergés et cachés par le jeune curé de la paroisse. Puis nous nous sommes procurés de faux papiers grâce à ce curé et au maire corse du village ! Nous avons même dormi dans les salons de la préfecture !De retour à Paris, j’ai repris mes activités à Orion jusqu’à la fin de la guerre. Puis j’ai rejoint les Commandos de France.

La doctrine maurrassienne a-t-elle influencé votre engagement dans la résistance ?

J.-B. Biaggi : c’est véritablement la haine des Allemands qui a motivé mon engagement. L’amour de mon pays martyrisé par ceux que nous appelions "les Boches", et la germanophobie en soi. Il n’y a pas eu de complication dialectique ou intellectuelle, comme chez certains qui ne résistent qu’à partir de 1941 par pure stratégie idéologique. Nous avons eu l’instinct de la Résistance, car Maurras nous avait parfaitement formés. Les Allemands étaient chez nous ; ils ne devaient pas y rester. Donc il fallait les chasser. C’est ce à quoi nous nous sommes employés. Nous avons tenté de toutes nos forces, de chasser les envahisseurs. Ce dont nous avions conscience, c’est de l’intérêt supérieur du pays. C’est ça, le fond de la doctrine maurrassienne. Que Maurras ait eu une autre méthode que nous pour remédier à la crise, c’est conjoncturel. Je le dis très franchement et même fièrement : j’ai toujours été maurrassien ; je le suis toujours resté ; et à mon âge, je crois bien devoir vous dire que je le resterai toujours. La Résistance était un réflexe patriotique. L’école politique qui enseignait le patriotisme au plus haut degré, c’était l’Action française.

 

Un dernier mot sur Maurras ?

J.-B. Biaggi : Il faut raconter une anecdote de Marcel Jullian répondant à un proche du général De Gaulle qui, après la victoire, lui reprochait son attachement à Maurras, coupable d’intelligence avec l’Allemagne : "Vous avez très mal choisi, monsieur. Maurras avait toutes les formes possibles de l’intelligence, sauf celle là !"

 

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